16 août 2008
Je n'ai cure de demain. Cette nuit, tu dois mourir avec moi.
Les soirs de vent comme aujourd'hui, je les entends ressurgir. Les milliers de murmures fautifs accumulés au fil des années, les pleurs ravalés, tout ressort.Comme de longues brumes de douleur dont le vent parfume les collines.ça m'aide, moi.Je ne peux...